Sujet souvent débattu, la couverture Microtonique française, semble être plus que jamais d’actualité à l’heure des grandes migrations et du morcellement de l’influence amiénoise.
Il n’existait pourtant jusqu’alors aucune carte précise de ces zones d’influences et les débats se résumaient à de vaines palabres sans arguments réels. A l’aide de cette carte, les discussions vont désormais pouvoir s’enrichir de toute l’exactitude de la cartographie moderne et des dernières avancées des sciences politiques du 21ème siècle.
Premier constat, l’influence microtonique se concentre quasi exclusivement sur un quart nord-ouest relativement restreint du territoire métropolitain. La totalité des zones d’influences les plus exotiques, et les plus ensoleillées, et non des moindres, est due à la présence dans ces contrées barbares d’un seul et unique Microton, qui plus est de second ordre, Antoine W. Nous sommes en tout état de cause en droit de nous demander si un travail aussi primordial et difficile peut être endosser par de si fragiles épaules, remarque émise non sans tenir compte de la santé même dudit Microton.
Cette carte globale de l’influence Microtonique est néanmoins à pondérer par la mobilité potentielle du Tipchit assoiffé qui peut globalement être superposée à la totalité du territoire français (DOM et TOM compris) (Cf. annexe 1)
Dans un second temps il convient, en vue d’une analyse plus fine, de s’attacher à identifier les différentes zones de cette influence. Premier territoire, le mieux connu car le plus ancien, la grande région amiénoise. Cette zone historique est tenue de mains de maître par un groupe de Microtons de souche comptant dans ces rangs certains d’entre nous des plus influents et des plus remarquables. Ce territoire nous est acquis. La zone lilloise certes limité et récente est verrouillée par notre VRP le plus actif sur la saison 2004-2005. Ce territoire ne saurait être disputé à blimpipchlilit qui de façon impressionnante assure à la fois ses propres obligations sur son territoire, la représentation du microtonisme vivant dans d’autres zones et la propagation non contrôlée de certaines souches virales et bactériennes. (Statistiques de l’homme de l’année dans un prochain article). La zone caennaise est également hors d’atteinte maintenue qu’elle est dans une perpétuelle « Orange attitude » par le plus foufounesque de nos administrateurs. Enclavée entre deux des zones les plus solides, Jano aura fort à faire pour maintenir la région rouennaise au niveau de ses voisines. Le défi est beau, l’homme est puissant, et relativement libre dans son nouvel emploi ; à lui de jouer. Chouchou vient d’arriver dans la zone rennaise, tout reste à faire mais il se trouve en terrain connu et possède déjà de nombreux contacts sur place. Il a toutes les cartes en mains mais le challenge reste de taille. En terre nantaise, le plus méridional de nos administrateurs, quant à lui, a déjà fait la preuve, à maintes reprises, de son potentiel murge et s’acquittera, à n’en pas douter, de la tâche qui lui incombe (et qui lui décombe). A noter tout de même la possible fragilité de ce territoire géographiquement étiré et qui nécessitera malgré la compétence indiscutable d’Emeric dans le domaine, l’attention de tout un chacun. Arrive enfin l’épineux problème de la zone brestoise administrée par Romomo P. Ne revenons pas sur la solidité indiscutable de ce territoire mais plutôt sur sa superficie. Car tout de même la zone s’étendant entre la pointe du petit minou, Keraliou, Trémaouezan et Plabennec n’est pas digne de l’envergure du Microton susnommé. Avec une porte ouverte sur le pays de l’oncle Sam nous étions en droit d’attendre mieux d’un apôtre avec une aussi belle barbe. Ne jugeons pas trop vite cet ancêtre vieillissant au passé glorieux et laissons lui le temps de retrouver la gnak qui a fait son succès dans les années folles.
Terminons par l’outre mer où le secteur antilles est sous le joug de Tonio, qui, malgré la distance le séparant du reste de notre zone d’influence a réussi, à lui seul, à occuper le terrain d’une manière quasi globale. Au-delà des océans, persistent quelques terres qu’il nous appartient de conquérir à l’avenir.
Au total nous obtenons donc une zone relativement restreinte compte tenu des attentes de chacun, mais une zone solide et surtout prometteuse. A quelques exceptions, chaque microton réalise sa part honorable du travail.
Force est de constater qu’en dépit de la déception de certaines attentes le bilan est plutôt positif. Mais le plus dur reste a faire : « étendre et consolider » sont les deux mamelles du microtonisme.
Le futur nous appartient…